Meinl – L’art de la percussion made in Germany
Fondée en 1951 en Allemagne, Meinl est passée en quelques décennies d’un petit atelier à une véritable institution de la percussion. Au départ, la marque fabriquait des instruments pour les écoles de musique. Aujourd’hui, elle fournit des batteurs, percussionnistes et curieux du rythme aux quatre coins du monde. Si vous avez déjà entendu un groove bien sec ou une cymbale qui claque pile au bon moment, il y a de grandes chances que Meinl y soit pour quelque chose.
Les cymbales qui font tourner les têtes
C’est grâce à ses cymbales que Meinl a bâti sa réputation. Entre les séries Byzance, sombres et pleines de nuances, et les Classics, plus brillantes et explosives, il y en a pour tous les styles. Les batteurs de jazz y trouvent leur subtilité, les métalleux leur mur de son, et les poppeux leur clarté éclatante. Le vrai problème avec Meinl ? C’est qu’on a souvent envie d’en prendre deux ou trois d’un coup… et ça, les batteurs connaissent bien.
Un tour du monde sans bouger de son tabouret
Meinl ne s’est pas arrêtée aux batteries. La marque s’est aussi plongée dans les percussions traditionnelles : cajóns, djembés, bongos, congas, udu... Autant d’instruments qui permettent de voyager musicalement sans avoir besoin de billet d’avion. On tape, ça résonne, et tout à coup, on a l’impression d’être en Afrique de l’Ouest, en Amérique Latine ou dans un club de flamenco à Séville.
La philosophie Meinl
Le secret de Meinl ? Des instruments qui sonnent bien, qui durent longtemps, et qui donnent envie de jouer. Pas besoin d’être un virtuose pour sortir un groove sympa d’un cajón ou donner du caractère à un morceau avec une cymbale. Et pour les pros, la marque propose une palette sonore si large qu’on pourrait passer sa vie à tester sans jamais se lasser.
Chez Michenaud, ce qu’on en dit
Chez nous, Meinl, c’est la marque qui met un sourire aux lèvres des batteurs dès qu’ils posent une baguette dessus. Nos vendeurs aiment la conseiller parce qu’elle ne déçoit jamais. Et soyons honnêtes : on a déjà vu plus d’un batteur entrer en magasin pour “juste jeter un œil aux cymbales”... et ressortir avec un sac bien plus lourd que prévu.